Titre : Le théorème des Katherine
Auteur : John Green
Editions : Nathan
Année de parution : 2012
Pages : 267 pages
Prix : 14,50 €
Résumé :
Dix-neuf fois Colin est tombé amoureux. Dix-neuf fois la fille s’appelait Katherine. Pas Katie, ni Kat, ni Kittie, ni Cathy et surtout pas Catherine, mais KATHERINE. Et dix-neuf fois, il s’est fait larguer.
Mon opinion personnelle :
J’avais très envie de le lire, j’ai donc été ravie de tomber dessus dans les Nouveautés de ma médiathèque secondaire. Problème : C’est un John Green. Et si j’ai adoré Nos étoiles contraires, mais ai été déçue un peu quand même, sa notoriété promettant plus selon moi, je n’ai vraiment pas aimé Qui es-tu Alaska ?. J’avais donc peur en l’ouvrant… Et au final, tout s’est bien déroulé. Youpi !
Les personnages étaient assez délirants. Colin, enfant plus que précoce, très intelligent, qui ne voit qu’à travers l’intelligence et le savoir. Pourtant, il m’a attendri, avec ses Katherine/ Hassan, son meilleur ami, musulman qui se fait passer pour très croyant, mais qui en fait ne l’est presque pas, m’a bien fait rire. Et Lindsey, charmante jeune fille un peu dérangée, mais très attachante.
Ici, l’auteur a un style toujours aussi amusant et prenant. On le reconnaît bien grâce à son humour assez particulier et cinglant, mais on s’y accroche facilement. Il avait des mots plutôt saisissants qui savaient captiver le lecteur.
Je commence par ma grosse déception : Les Katherine ne sont que « racontées » par Colin. Aucune Katherine ne fait vraiment partie de l’histoire. Enfin si, deux en font partie, mais une page chacune. J’aurais aimé les découvrir plus précisément. Enfin bon. Je me débarrasse de ma deuxième hantise, et après, on passe au positif. Les Maths. Ce livre en est bourré, et j’étais un peu perdue… Non seulement Colin est en post-bac, mais en plus, il est surdoué !! J’étais un peu larguée.. Mais bon, ce n’était pas terriblement gênant non plus. Ensuite, il n’y avait quasiment que des bonnes idées dans ce livre. Le road-trip d’Hassan et Colin. Leur rencontre avec Lindsey. Et puis tout se qui s’ensuit. Ca m’a beaucoup plu, toutes ses petites anecdotes surprenantes et loufoques qui arrivaient de partout. Ensemble, elles fonctionnaient très bien. Et le fil rouge de cette épopée était plutôt origilnal : Colin veut créer une formule mathématique qui permet de calculer l’existence d’un couple, son histoire. Sympa ! Dans cet ouvrage, il y avait une sacrée dose d’humour, qui s’ajoutait très bien à de la romance, du suspense, du mystère et des rebondissements bien tournés.
La fin n’était pas trop surprenante. Mais c’était plutôt mignon, bien tourné, et laissait aller à l’imagination du lecteur. Certes, je pense que M. Green aurait pu trouver un peu mieux, mais on s’en contente quand même. L’issue de la formule de Colin s’achève elle plutôt bien, à mon grand bonheur.
L’originalité du titre m’a bien plu, ça résume plutôt bien l’histoire, et j’ai trouvé la couverture vive et attrayante.
Une histoire sympathique, décalée, drôle, avec des personnages vraiment plaisants, c’est ce qui rend cet ouvrage détente et agréable à lire. Il est simple, je vous le recommande donc pour passer un moment de lecture plutôt estival et pas prise de tête !
J(ai bien aimé ! |
J'hésite encore à le lire celui ci , à voir à l'occasion.
C'est sympa, mais je suis contente de ne pas l'avoir acheté.
Je veux le lire celui la. J'adore John Green donc forcement… Et puis, il à l'air pas mal aussi. 😉
Moi le Green c'est sans plus, mais celui-là était plutôt sympa !