Titre : Métaphysique des tubes
Auteur : Amélie Nothomb
Editions : Albin Michel
Pages : 171 pages
Résumé :
Et après, il ne s’est plus rien passé.
Mon opinion personnelle :
C’est un résumé bien bref que nous avons pour ce roman, qui est en fait une autobiographie de zéro à trois ans de l’auteur. Toujours dans le cadre de mon cours de Français niveau 3ème sur l’autobiographie de l’enfance et de l’adolescence, j’ai lu ce bouquin car il faisait partie de la liste de lecture qu’on m’a donné à lire. (Très belle phrase, c’est sûr qu’une liste de lecture peut également être mangée…) Ce bouquin était… Comment dire… Etrange. Au début, c’est catastrophique. Plat, morbide, honteux, ennuyant… J’avais vraiment très peur de la suite. Et puis, à partir du moment où le personnage principal devient vraiment « vivant », je me suis nettement plus intéressée à l’histoire. Je ne crois pas être totalement rentrée dedans, mais tout du moins, je l’ai lue en surface. Amélie Nothomb raconte beaucoup d’anecdotes. Pour ma part, pour la plupart, je suis sûre qu’elles sont fausses. Mais certaines peuvent être vraies, et sont très bien narrées, bien exprimées. Je me suis tout de même parfois vraiment ennuyée, et j’avais envie de fermer le bouquin. Mais j’ai tout de même réussi à aller au bout. Il y avait de l’humour, même dans les passages les plus trash, et c’est ce qui a servit de bouée au roman. Car l’auteur a un style très particulier, assez sombre, qui à mon avis est soit adoré, soit détesté. Même si dans cet ouvrage, c’est sûrement moins flagrant que dans les autres, car je pense qu’ici, il y avait plus de délicatesse et de subtilité. Cependant, je me trouve embêtée, car je ne peux pas dire si j’ai aimé ou non ce livre. Je pense que oui, mais je n’en suis pas sûre. Bref, pour résumer, je dirais que c’est bien fait, mais pas très intéressant à lire. Je n’ai pas appris grand chose de ce roman, pour synthétiser.