Titre : Je l’aimais
Auteur : Anna Gavalda
Editions : Le Dilettante
Résumé :
» On biaise, on s’arrange, on a notre petite lâcheté dans les pattes comme un animal familier. On la caresse, on la dresse, on s’y attache. C’est la vie. II y a les courageux et puis ceux qui s’accommodent. C’est tellement moins fatigant de s’accommoder… »
A-t-on le droit de tout quitter, femme et enfants, simplement parce que l’on se rend compte – un peu tard – que l’on s’est peut-être trompé ? Adrien est parti. Chloé et leurs deux filles sont sous le choc. Le père d’Adrien apporte à la jeune femme son réconfort. À sa manière : plutôt que d’accabler son fils, il semble lui porter une certaine admiration. Son geste est égoïste, certes, mais courageux. Lui n’en a pas été capable. Tout au long d’une émouvante confidence, il raconte à sa belle-fille comment, jadis, en voulant lâchement préserver sa vie, il a tout gâché.
Mon opinion personnelle :
J’ai adoré ce roman. Il n’y avait certes pas beaucoup d’action, mais beaucoup de morale et d’humanité. C’était un scénario original, une jeune fille qui vient d’être quittée par son mari se confie à son beau-père. Certes, c’était un peu parfois plat, mais bon, comme toujours, Anna Gavalda a su apporter au lecteur ce petit quelque chose qui vous attrape sans plus jamais vous lâcher. Bravo !
Livre se trouvant dans ma propre bibliothèque.